IDENTIFICATION
Localisation
Caractéristiques
Description
Coque / à propos :
Canot voile-aviron, à clins, très élégant, très finement réalisé, sur lequel nous ne disposons que de très peu de renseignements. Il est caractéristique de cette mode du canotage qui prit naissance dans notre pays au cours du 19e siècle.Pont et superstructures / à propos :
XXXXPont et superstructures / état actuel :
XXXXGréement / à propos :
Gréement houari militaire (mat avec flèche coulissant sur le mat et retenu par des anneaux métalliques. Gréement dormant chanvreVoilure / à propos :
Petite voile triangulaire enverguée sur le mat et le flèche. Le point d’écoute est à l’arrière du canot.Emménagements / à propos :
Pas d’aménagement en dehors de ses bans à caillebotisEmménagements / état actuel :
Bon étatMoteur(s) / type, puissance, année :
Pas de moteurIntérêt Patrimonial
Témoignage humain :
Le bateau est resté au sec pendant plusieurs dizaines d’années. On ne peut pas dire que cela lui a été profitable, mais son état de présentation est bon. Le canot est tout d’abord remis à l’eau dans un endroit tranquille au fond du port de la Trinité. Ceci pour lui permettre de retrouver toute sa flottabilité. Le rameur doit se placer sur le banc du milieu, mais celui-ci est trop près de l’arrière. Un banc supplémentaire, amovible, en acajou verni recule l’assise de l’équipage, lui permet d’étendre ses jambes et de ramer plus confortablement. Une voile, un safran et d’une barre ont été confectionnés puisque le bateau dispose d’un mat. On remarquera les très nombreux caillebotis, le dosseret arriére en acajou incrusté de marques en laiton, les deux mascarons “Marine” qui flanquent les deux côtés de l’avant.
Témoignage technique ou conceptuel :
Ce canot plus que centenaire, resté dan « son jus » est une rareté à l’origine pour l’instant inconnue. Il a été remis à Amerami à ‘état d’épave, puis restauré
Témoignage événementiel ou d’une activité révolue :
Autres éléments remarquables :
Chronologie :
Philippe LOUVEL de Monterfil (35) Restauration : en 1997 au chantier de Charles Fresneau à St Lunaire