IDENTIFICATION

Année de labélisation : 2014
Renouvelé en date de : 2022
Non renouvelé en date de :
Anciens Noms :
Numéro de francisation : NC
N° Immatriculation : NC
Quartier d'immatriculation : PA
Type, série, ou nom local : canot voiles-aviron
Protégé au titre des Monuments Historiques : non

Localisation

Localisation (département) : 56
Port d’attache habituel : La Trinité sur Mer
Chantier d’hivernage : Sous hangar privé

Caractéristiques

Genre : Maritime
Usage à l'origine : Plaisance
Mode de propulsion (à l'origine) : force humaine
Mode de propulsion (actuel) : force humaine
Architecte :
Chantier constructeur : NEANT
Année de construction (ou mise en service) : 1916
Longueur hors tout : 3,70 m
Longueur coque : 3,70 m
Longueur flottaison : XXXX
Largeur Maître bau : 1,05 m
Tirant d’eau : 0,40 m
Tirant d’air : 1,50 m
Déplacement (tonnes) : XXXX

Description

Coque / à propos :

Canot voile-aviron, à clins, très élégant, très finement réalisé, sur lequel nous ne disposons que de très peu de renseignements. Il est caractéristique de cette mode du canotage qui prit naissance dans notre pays au cours du 19e siècle. 

Pont et superstructures / à propos :

XXXX

Pont et superstructures / état actuel :

XXXX

Gréement / à propos :

Gréement houari militaire (mat avec flèche coulissant sur le mat et retenu par des anneaux métalliques. Gréement dormant chanvre 

Voilure / à propos :

Petite voile triangulaire enverguée sur le mat et le flèche. Le point d’écoute est à l’arrière du canot. 

Emménagements / à propos :

Pas d’aménagement en dehors de ses bans à caillebotis 

Emménagements / état actuel :

Bon état 

Moteur(s) / type, puissance, année :

Pas de moteur 

Intérêt Patrimonial

Témoignage humain :

Le bateau est resté au sec pendant plusieurs dizaines d’années. On ne peut pas dire que cela lui a été profitable, mais son état de présentation est bon. Le canot est tout d’abord remis à l’eau dans un endroit tranquille au fond du port de la Trinité. Ceci pour lui permettre de retrouver toute sa flottabilité. Le rameur doit se placer sur le banc du milieu, mais celui-ci est trop près de l’arrière. Un banc supplémentaire, amovible, en acajou verni recule l’assise de l’équipage, lui permet d’étendre ses jambes et de ramer plus confortablement. Une voile, un safran et d’une barre ont été confectionnés puisque le bateau dispose d’un mat. On remarquera les très nombreux caillebotis, le dosseret arriére en acajou incrusté de marques en laiton, les deux mascarons “Marine” qui flanquent les deux côtés de l’avant. 

Témoignage technique ou conceptuel :

Ce canot plus que centenaire, resté dan « son jus » est une rareté à l’origine pour l’instant inconnue. Il a été remis à Amerami à ‘état d’épave, puis restauré 

Témoignage événementiel ou d’une activité révolue :

Autres éléments remarquables :

Chronologie :

Philippe LOUVEL de Monterfil (35) Restauration : en 1997 au chantier de Charles Fresneau à St Lunaire 

En savoir + sur ce navire

Site internet :