IDENTIFICATION
Localisation
Caractéristiques
Description
Coque / à propos :
Construction classique bordés pin sur membrures eucalyptus, étrave droite, arrière pointu. A la demande du propriétaire le maitre bau a été réduit par rapport aux barques de pêche construites par le chantier (~2.00m habituellement)et un puits de dérive sabre a été ajoutéPont et superstructures / à propos :
Pont en pin sur barrots eucalyptus, 2 cockpits, un central autour du puits de dérive, un arrière.Pont et superstructures / état actuel :
Pont d'origine stratifié avec tissu des verre et époxyGréement / à propos :
gréement latin, mat en spruce, antenne bambou et fibre de verre, écoutes synthétiques (tresses et Toronnés,gréement dormant (1 hauban)synthétique épissé, rocambeau d'antenne galvanisé fourrage cuir. 4 avirons traditionnels estropés sur tolets simplesVoilure / à propos :
Voile latine 15.5 m² en coton égyptienEmménagements / à propos :
Pas d'emménagements particulier, caillebotis amovible dans le cockpit arrièreEmménagements / état actuel :
Bon étatMoteur(s) / type, puissance, année :
NEANTIntérêt Patrimonial
Témoignage humain :
Probable dernière survivante d’une mini-série de quatre unités commandées pour la plaisance au chantier El Badry en 1978 par des personnels de l’Union Maritime de Dragage lors du chantier de recalibrage du canal de Suez entre 1976 et 1979, “Inch’Allah” a été la seule voile latine à naviguer régulièrement dans les eaux des pertuis charentais entre 1980 et 2000, période ou elle était basée sur l’ile de Ré.
Témoignage technique ou conceptuel :
La réduction du maitre bau de 2.00m à 1.60m et l’adjonction du puits de dérive résultent d’une demande particulière du propriétaire de modifier le plan traditionnel des felouques de pêcheurs du Grand Lac Amer et de Port Saïd, afin d’obtenir un bateau capable de remonter honorablement au vent.
Témoignage événementiel ou d’une activité révolue :
Autres éléments remarquables :
Chronologie :
Rénovation du bordage en 1991 suite aux dégâts occasionnés par la fin de tempête tropicale Hortense en aout 1990 (le corps-mort d’Inch’Allah avait ripé et elle s’était mise au plein sur la cote nord de l’ile de Ré) la restauration a été réalisée par le propriétaire en petites lattes de pin collées-clouées sur la structure d’origine. le pont a été stratifié à cette occasion.